mercredi 23 mai 2012
Annonce officielle
- Documents institutionnels (communiqués de presse, plaquettes..)
- Documents administratifs (courriers...)
- Candidatures (lettres de motivation, CV...)
- Articles (presse, web...)
- Textes optimisés SEO
- Scénarios
- Identités en ligne (Viadeo, blog
- Accroches/slogans/baselines
- Viadeo:
- Doyoubuzz :
- Mon mail :
mercredi 11 avril 2012
Retour (bis) sur...

Pierpoljak, qu'est-ce que tu fais là ?
Article et photos d'un concert "Flashback", avec Détours de Scène et le festival Les Enchanteurs.
Retour sur...

Un concert "comme on les aime".
Et quel plaisir de pouvoir allier mes deux passions : écriture et photo !
Merci Détours de Scène :)
mardi 7 février 2012
Les moteurs de recherche et les réseaux sociaux soumis au test de l'eye-tracking

Comme son nom l'indique, l'eye-tracking consiste à étudier le parcours de l'œil d'une personne sur un support, et ceci dans un but marketing. L'objectif principal est d'utiliser les informations recueillies pour juger de la pertinence et de l'efficacité d'un support ou d'une campagne. Souvent utilisée sur le web, cette technique s'applique aussi au print (affiches) ou encore aux points de ventes physiques (rayons de supermarchés).
La finalité est donc d'optimiser une campagne en améliorant la disposition des éléments sur le support où elle apparaît - ou l'ergonomie s'il s'agit d'une page web.
Dans « l'étude du parcours de l'œil », on entend aussi bien :
l'ordre dans lequel l'œil voit les éléments
le temps pendant lequel l'œil s'arrête sur un élément en particulier
les points qui retiennent particulièrement l'attention de l'œil
En relevant donc ce qui a été vu, on peut aisément déduire, à contrario, ce qui « passe à la trappe » et n'est pas « retenu » par l'œil.
Des exemples concrets
A – sur un moteur de recherche
Des études d'eye-tracking réalisées sur un moteur de recherche permettent aujourd'hui de mettre en évidence certaines vérités :
Le rafraîchissement instantané des résultats, au fur et à mesure que l'internaute tape sa requête, ne se montre pas aussi efficace qu'on l'aurait voulu, à en juger le peu de fois où ce système de recherche est utilisé. En effet, on remarque surtout que la plupart des internautes fixent soit le clavier, soit la barre dans laquelle ils tapent leur requête, et jamais les résultats.
Les « suggestions de recherche » apparaissant dans la barre de recherche au fil de la saisie, sont quant à eux très remarqués et appréciés des internautes. L'eye-tracking permet même d'affirmer que les deux premières lignes sous la barre de recherche sont très souvent lues et largement prises en compte par les internautes.
Quand la recherche est effectuée au niveau « local », les liens textes suggérés sont beaucoup moins cliqués que la carte qui « illustre » ces mêmes résultats.
Enfin, depuis l'apparition des images dans les liens sponsorisés google, force est de constater que les annonces incluant des images sont bien plus vues, même si leur position sur la page est loin d'être optimale.
B – sur des réseaux sociaux
Sur les réseaux sociaux, environ 65% des internautes voient la publicité présente sur les pages.
En moyenne, un internaute passe 33 secondes par page, mais son œil ne s'attarde sur un point fixe que moins d'une seconde !
7% du temps pendant lequel un internaute est présent sur une page est consacré à regarder la publicité.
En moyenne, le taux de reconnaissance pour une bannière est d'environ 27%. Il correspond au nombre d'individus capables de reconnaître la marque figurant sur la publicité à laquelle ils sont exposés.
Les pavés publicitaires directement intégrés dans les pages sont, de manière générale, beaucoup plus vus que les bandeaux placés dans le header.
Aussi, les internautes ont tendance à repérer plus vite les pavés (6,5 secondes) que les bannières (31 secondes).
Enfin, voici les éléments les plus regardés sur la page d'accueil de ces 3 réseaux sociaux:
Sur Facebook : Le haut de la colonne centrale (actualité la plus récente)
Sur Twitter : Les 4 premières lignes (derniers tweets)
Sur Youtube : Les vidéos « a la une » en haut de page.
Que retenir au sujet de l'eye-tracking?
La position d'un élément sur une page web n'est pas toujours significative. Parfois, une bonne intégration au reste de la page et une « fluidité visuelle » suffisent à faire ressortir les bons éléments.
De manière générale, et presque inconsciemment, les individus remarquent en premier lieu les éléments qui les « concernent » directement. Par exemple les filles seront « naturellement » plus attirées par la couleur rose. Lors de la conception des pages web ou de l'intégration des publicités ou encart, il est donc nécessaire de respecter certains codes visuels, déjà bien ancrés dans l'inconscient collectif.
La couleur est l'aspect le plus important, mais vous devez toujours prendre en compte :
la typographie (préférez des polices sans empattement pour une meilleure lisibilité)
le message en lui-même et plus particulièrement les mots-clés (attention à bien faire ressortir le bénéfice produit !)
Enfin, regarder une zone avec insistance n'est pas forcément un signe d'intérêt.
Au contraire, il peut aussi s'agir d'une incompréhension de la part de l'internaute...
Pour éviter les erreurs les plus évidentes, rien de tel que de demander différents avis autour de vous avant de soumettre une maquette !
Source : www.journaldunet.com
lundi 2 janvier 2012
L'E-MAILING MARKETING

Support de promotion privilégié pour les annonceurs, les e-mails à vocation commerciale sont aujourd'hui analysés sous toutes les coutures. Divers outils et logiciels permettent aux marques d'établir des liens durables entre elles et les consommateurs – à condition de réussir à se démarquer.
Parmi les principaux indicateurs de satisfaction, on retrouve le taux de clic, le taux d'ouverture, et surtout le taux de réactivité. Ce dernier peut être mesuré en faisant le rapport taux de clic/ taux d'ouverture.
Si un bon taux d'ouverture indique une offre intéressante et un contenu pertinent, le taux de réactivité, lui, témoigne d'éléments d'accroche efficaces.
On estime un bon taux de réactivité à plus ou moins 20%.
Il existe plusieurs actions à mettre en place pour optimiser le taux de réactivité.
Pour commencer, il est très important d'analyser mais aussi de comparer point par point les différentes campagnes ainsi que leurs résultats pour les faire évoluer.
Ensuite, pensez à améliorer la délivrabilité.
Pour ce faire, voici quelques points à bien respecter :
- Toujours collecter les adresses e-mails des prospects de manière légale
- Mettre à jour régulièrement vos bases de données en prenant soin d'éliminer les adresses non-valides ou encore les doublons
- Exclure certains mots, appelés « spamwords », comme « sexe », « argent », « médicaments »...
- Identifier les meilleurs jours et heures pour envoyer vos e-mails. Il va sans dire qu'un e-mail envoyé un vendredi soir aura plus de chances d'être noyé dans le flot d'e-mails du week-end...
- Éviter les envois trop fréquents qui pourraient nuire à votre crédibilité.
- Soigner vos adresses d'envoi. Personnalisez-les autant que possible et évitez à tout prix les « noreply ».
- De la même façon, veillez à personnaliser l'objet de votre e-mail en utilisant des informations sur vos prospects. Vous pouvez procéder à un A/B testing pour déterminer l'objet le plus efficace pour votre campagne.
Enfin, de plus en plus de boites de réception affichent le haut du mail avant même l'ouverture de celui-ci. Au moment de la créa, pensez donc à mettre l'offre et/ou le cœur du message en tête de mail.
Comme pour toutes les techniques de marketing, l'e-mailing est en constante évolution et voit apparaître toujours plus de nouvelles tendances.
La personnalisation
De récentes études font ressortir deux point particulièrement importants pour des campagnes e-mailing efficaces. Dans un premier temps, l'analyse du comportement des internautes, pouvant être réalisée grâce à différents outils de tracking.
Ensuite, une bonne connaissance des habitudes et besoins des consommateurs.
La segmentation
Elle vient compléter la personnalisation et permet, entre autres, de délivrer aux consommateurs des messages ciblés et au moment opportun. Des internautes qui se sentent « considérés » par une marque ou directement concernés par un message sont bien sûr plus réactifs et souvent plus fidèles.
Les réseaux sociaux
E-mails et réseaux sociaux peuvent s'avérer très efficaces quand ils sont employés de manière complémentaire. Pour cela, veillez à ce que qu'il n'y ait pas d'effet de « cannibalisation » entre eux : le contenu diffusé par un annonceur dans les e-mails ne doit pas se retrouver dans celui relayé sur les réseaux sociaux. De manière générale, avant de mettre en place vos campagnes, vous devez penser à établir une stratégie multi-canal cohérente où les internautes sauront d'instinct où chercher les informations dont ils ont besoin.
L'adaptation aux supports mobiles
Dans « supports mobiles », on entend aussi bien les ordinateurs portables que les smartphones ou encore les tablettes.
L'adaptation doit donc se faire autant en termes de « lisibilité » que d'optimisation de l'ergonomie.
Ce dernier point donnera lui-même naissance à de nouvelles tendances marketing.
On pense par exemple au responsive design...